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Le vent de Roscoff et l’eau de Fouesnant

Bonne nuit à Roscoff

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Soleil couchant à Roscoff

Avec la grosse journée du mardi au sentier des douaniers, nous avons fini par nous poser à Roscoff, sur un très beau couché de soleil. Nous nous sommes préparé pour une journée calme.

Pas de stress

Comme il pleut, on décide d’aller poser le camping-car en ville après le petit-déjeuné. Jusqu’au midi, papa doit travailler. Alors avec les enfants, on se met dans la chambre du bout et on sort tous les jeux (tous, oui oui, vraiment tous). Le repas arrive et la sieste suit de très près. Ensuite comme papa doit travailler, direction les jeux pour enfants que nous avons repéré en arrivant.

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La ville de Roscoff au départ pour la balade

Un peu de vent

Hum le bon vent de Bretagne qui fait du bien. On s’arrête pour regarder la jolie couleur de l’eau. Puis, on arrive aux jeux pour le plaisir de tout le monde.

Beaucoup de vent

Simon nous rejoint avec Isys et Iona. Direction le manège qu’on avait promis à notre grande en passant devant la veille. On remet les manteaux. On ajoute les capuches. Le manège passé, on se dirige vers la cité de Roscoff, qui a l’air très jolie.

Trop de vent

Le froid prends le dessus sur la beauté de la cité. Iona a peur de tout ce qui vole. Agathe a froid. L’heure du goûter est arrivée pour Achille. Trop c’est trop. On oublie la crêpe et on rentre pour le camping-car. Maman avec la poussette et papa avec les chiens en laisse-ceinture et la petite fille sur les épaules. Les yeux pleurent avec le vent, on voit notre jolie journée se transformer en périple de retour au camping-car.

Retour au calme (ou presque)

En arrivant au camping-car, on fait goûter les enfants. Et nous voilà avec 1000 options. Est-ce que l’on reste jusqu’à demain pour faire l’île de Batz ? Est-ce qu’on part dans la ville d’à côté pour continuer doucement ? Est-ce qu’on part vers l’Ouest, direction d’autres contrées ? Mais quelle ville ?

Bon, vu qu’il annonce de grosse chaleur, on opte pour le bord de mer. Finalement, on met les voiles vers Concarneau. Ou plutôt un endroit qui à l’air pas mal dans le village à côté : Fouesnant.

En roulant, on gagne 10 degrés. Alors, en arrivant, on met les pieds dans l’eau, on prend une douche et on file au lit pour retrouver ce beau paysage rapidement.

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Plage de Fouesnant

Fouesnant

L’aire de camping-car de Fouesnant est sur un sol de terre/sable sans services. Elle est gratuite pour 48 heures. Son gros avantage est d’avoir la plage à 100 mètres. On traverse une seule route et nos pieds sont déjà dans l’eau.

Nous passons deux jours au calme, au soleil. À hésiter entre balade pieds nus ou repos sur le sable. On se repose vraiment (autant que possible avec deux enfants en bas âge me direz-vous). Même eux se reposent, on les laisse gambader sur la plage. Achille en profite pour parfaire ses nouvelles techniques de marche.

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Plage de Fouesnant

Le soir, pendant que l’un de nous surveille les enfants qui dorment, l’autre par promener les chiens, en longe sur la plage. Je peux affirmer que cette aire de camping-car est validée par nos doudounes.

Quand les 48 heures sont passées et qu’il est temps de ranger, nous nous apercevons qu’il reste encore pas mal de place sur l’aire. Et, c’est après une mûre décision (quelques secondes en réalité) que nous décidons de faire les hors-la-loi, en profitant de ce coin de paradis une nuit supplémentaire. Juste une nuit, car la bougeotte nous reprend et nous donne envie de voir de nouvelle chose.

Le départ vers Concarneau

Ce matin, Simon fait une dernière balade avec les enfants, le temps que je lave quelques habits à la main (oui je sais, dans les temps moderne il y a les laveries. Mais nous n’avons jamais trouvé le bon timing pour y aller. Alors je frotte, je frotte). Ensuite, on prépare le camping-car au départ.

C’est parti !

Ah non, faux départ

Tout est prêt, les fenêtres sont fermées, les enfants dans leurs sièges et les portes attachées.

1 clic, 2 clics, … Plus rien. Nous n’avons plus de batterie (et bien oui recharger un pc la nuit sur la batterie du porteur c’est pas l’idée du siècle). Heureusement, les campings-caristes sont serviables. 1 minute plus tard nous avons des pinces et une multitude d’information avec. Alors on s’auto-recharge en utilisant nos batteries cellules (ah ben oui il fallait y penser).

Cette fois c’est parti !

Mais avant, on passe acheter des pinces, au cas où. Et ensuite, direction Concarneau et sa ville close.

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